Ce lundi, Laurent, Christophe, Jean David et Myriam sont intervenus au sein de la Mission Locale Aveyron sur Millau et l'après midi à Saint Affrique auprès de jeunes ayant des parcours de vie différents.
Après une rapide présentation de l'association et discussion sur le pourquoi les bikers aiment les têtes de morts (pour l'égalité bien entendu car tous les cranes se ressemblent 😉 ), ils ont été touchés par le film que nous leur avons passé. Certains d'entre eux avaient les yeux larmoyants et ils ont pu prendre conscience que le harcèlement, s'il n'est pas traité rapidement, peut engendrer des séquelles irréversibles, voire amener à des drames.
Les échanges furent nourris tant au niveau du harcelé qu'au niveau du harceleur car ce dernier à aussi besoin d'aide.
On a été touché également par le témoignage d'une jeune fille qui, après nous avoir dit être agréablement surprise que des bikers viennent leur parler bénévolement de harcèlement, a évoqué son cas personnel et ce pour la première fois (elle n'en a jamais parlé à quelqu'un). C'était il y a quelques années, et depuis elle a su surmonter le problème, mais elle nous a avoué qu'il reste des cicatrices.... cicatrices qui resteront à jamais.
Après ces deux interventions, nous avons été reçu par le principal du Collège de La Cavalerie (sur le Larzac), afin de lui présenter nos actions et voir quel partenariat nous pourrions mettre en place afin de sensibiliser ses élèves à ce fléau. La démarche lui a plu, ainsi qu'au CPE présent également, car elle rentre parfaitement dans le cadre du projet pHAre instauré par le Ministère de l'Education Nationale. Et bonne nouvelle, le RDV est pris pour le 14/12/23 auprès des 6ème, 5ème et 4ème de son établissement !
Après une rapide présentation de l'association et discussion sur le pourquoi les bikers aiment les têtes de morts (pour l'égalité bien entendu car tous les cranes se ressemblent 😉 ), ils ont été touchés par le film que nous leur avons passé. Certains d'entre eux avaient les yeux larmoyants et ils ont pu prendre conscience que le harcèlement, s'il n'est pas traité rapidement, peut engendrer des séquelles irréversibles, voire amener à des drames.
Les échanges furent nourris tant au niveau du harcelé qu'au niveau du harceleur car ce dernier à aussi besoin d'aide.
On a été touché également par le témoignage d'une jeune fille qui, après nous avoir dit être agréablement surprise que des bikers viennent leur parler bénévolement de harcèlement, a évoqué son cas personnel et ce pour la première fois (elle n'en a jamais parlé à quelqu'un). C'était il y a quelques années, et depuis elle a su surmonter le problème, mais elle nous a avoué qu'il reste des cicatrices.... cicatrices qui resteront à jamais.
Après ces deux interventions, nous avons été reçu par le principal du Collège de La Cavalerie (sur le Larzac), afin de lui présenter nos actions et voir quel partenariat nous pourrions mettre en place afin de sensibiliser ses élèves à ce fléau. La démarche lui a plu, ainsi qu'au CPE présent également, car elle rentre parfaitement dans le cadre du projet pHAre instauré par le Ministère de l'Education Nationale. Et bonne nouvelle, le RDV est pris pour le 14/12/23 auprès des 6ème, 5ème et 4ème de son établissement !